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Bio Chien :
Patrick Declerc, dans son étude Les naufragés, qui porte sur les clochards de Paris, publiée en 2001 chez Plon, invente l’anthropologie participative à domicile. Pour mieux comprendre les conditions de vie des sujets de son étude, il se met à dormir sous des cartons quatre jours durant dans sa cuisine, en plein hiver, toutes fenêtres ouvertes.
Adrien Bardi s’engage aujourd’hui dans le sillon de cette méthode, la transposant de l'étude de la vie dans la rue au milieu de la poésie, avec notamment l’espoir d’approfondir son empathie pour ses quelques amis poètes souffrant dans leur conscience de leur relation, pourtant vitale, à l’institution culturelle.
Vous pourrez trouver les premiers résultats de cette tentative dans ces deux pages.
Bio Chat :
Adrien Bardi vit et travaille entre Seille-sur-Mare, la Périgourdie et Chapeau-Mayenne. Il est membre d’une formation musicale depuis qu’il a abandonné le vol à la tire. Il a longtemps essayé de devenir factotum du réel sans jamais parvenir à comprendre ce que cela désignait, mais ça lui a tout de même permis de s’immiscer dans de nombreux paquets.
Contacté par le cipM fin avril 2018 pour participer aux Inédits du cipM, il devient volontiers poète. Vous pourrez jauger la légitimité de cette dernière affirmation dans ces deux pages. Merci.
Cf.
• Uva Ursi, Bison records
• Vivéré, La république des granges.
• Lichen, chewing-gum et la petite tâche du langage là-dedans, Journal de l’association Arvensis n°1 et Jef Klak n°2.
• Dérive en service social I et II ; revue Architecture et Poésie n°1 (précédemment : http://caadejacommence.blogspot.com/)
• Participation régulière à Zum Bulle - The Topsi Telegraph
• Le jeu du chat et du chien, 8clos
• Ici, a penetração ne peut pas être pratiquée et Toutes les influences me sont bonnes, Revue Cockpit N° MAP
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