tu cours sur le sable

Tu cours sur le sable, des traces mouillées de sang te suivent.

Tu tombes, avec force, tu te relèves.

Les gens te regardent en disant « pauvre chat sauvage » cette fois c’est fatal.

Tes blessures sont trop nombreuses, ton physique et ton cœur sont pleins, trop de violence, tu te couches près des vagues et fermes tes yeux pour un monde meilleur.

Tu es bien, tu te dis que tu t’éloignes de cette planète de fou.

Tu te sens libre, plus d’insulte et sous les étoiles de la mort tu effectues un salto, ton premier et le plus joyeux du monde.

Tu revois les images de ton maître violent, arrogant, se goinfrer d’hamburger.

Tu te rappel de ton manque d’amour.

Tu te sens délivré de se goinfre sanguinaire qui arrachait les masques aux passants sous prétextes qu’il était le maître du monde. Son gros problème d’égo est-il passé ou la mort l’a t’il emporté.

PAULINE