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Roger Lewinter

dlpc 6 : préambule

cipM, mars 2001




Introduction à une conférence de Roger Lewinter.

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Extrait :

Le français, l’accent fixe –sur une syllabe –selon l’étymologie– déterminée– ignorant –souvent, pour inaccentué, passant–, dans son articulation –à la différence d’autres langues européennes –allemand, anglais, italien, etc.–, où, dans son rôle –tout sonore–, neutre il est–, d’une part, sur la dernière voyelle d’un mot –au sens de ce qui se dit, lié–, un accent de fin d’unité de sens, dans l’énoncé, se terminant ou s’interrompant, une unité de sens marquant –dans « la table », par ex., sur le a de table, dans « la table ronde », sur le on de ronde, dans « la table ronde », à la fois sur le a et le on –non de telle autre table –rectangulaire ou carrée–, mais de cette table-là qu’il s’agit, précisément, signifiant–, ainsi, placé–, et, d’autre part –l’énoncé, simplement, colorant–, sur la première syllabe du mot, un contre-accent, facultatif, l’affect traduisant –à la télévision, un présentateur, dire –pour en –au « Journal » de vingt heures–, l’importance, souligner– pourrait : « le Président de la République a inauguré la foire aux chrysanthèmes » ; dans la rue, sur le constat, objectif, « génial », d’enthousiasme, subjectif, l’exclamation « génial », sensiblement, l’emportant–, l’accent, toujours, du sens –dans l’expérience s’en faisant–, vecteur, sous ces deux formes-là, emploie
[…]




voir aussi :
dlpc 6 - préambule (Conférences)

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