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James Sacré


James Sacré



Biographie :
Né en 1939, James Sacré passe son enfance et son adolescence à la ferme des parents en Vendée. D’abord instituteur puis instituteur itinérant agricole, il part, en 1965, vivre aux États-Unis où il poursuit des études de lettres (thèse sur la poésie de la fin du XVIe siècle français). Il y enseigne dans une université du Massachusetts (Smith College) tout en faisant de nombreux séjours en France et des voyages en d’autres pays (l’Italie et le Maroc, souvent). Il a publié des livres de poèmes au Seuil (Coeur élégie rouge, 1972), chez Gallimard (Figures qui bougent un peu, 1978) et aux éditions André Dimanche, ainsi que chez de nombreux autres éditeurs. Il vit de nouveau en France, à Montpellier, depuis 2001.


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Je pourrais imaginer que je suis un peintre

Bibliographie :
Relation, N.C.J., Bordeaux, 1965.
La femme et le violoncelle, J.C. Valin éditeur.
« Graminées », Poésie-Écrire (collectif), Le Seuil, 1968.
La transparence du pronom elle, Chambelland, 1970.
Coeur élégie rouge, Le Seuil, 1972 ; et André Dimanche, 2001.
Comme un poème encore, Atelier de l’agneau, 1975.
Paysage au fusil (coeur) une fontaine, Gallimard, Cahier de poésie 2 (collectif), 1976 ; et La Cécilia, 1991.
Un brabant double avec des voiles, Nane Stern, 1977.
Un sang maniériste, Étude structurale autour du mot sang dans la poésie lyrique française de la fin du XVIe siècle, La Baconnière, 1977.
Figures qui bougent un peu, Gallimard, 1978.
« Exercice et plaisir en faveur de l’amour », L’amour mine de rien, Encre/Recherches (collectif), 1980.
Quelque chose de mal raconté, André Dimanche, 1981.
Des pronoms mal transparents, Le dé bleu, 1982.
Rougigogne, Obsidiane, 1983.
Ancrits, Thierry Bouchard, 1983.
Écrire pour t’aimer, à S.B., André Dimanche, 1984.
Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme), Le Castor astral et Le Noroît, 1986.
La petite herbe des mots, Le dé bleu, 1986.
La solitude au restaurant, Tarabuste, 1987.
Une fin d’après-midi à Marrakech, André Dimanche, 1988.
Un oiseau dessiné, sans titre. Et des mots, Tarabuste, 1988.
Le taureau, la rose, un poème, Cadex, 1990.
Je ne prévois jamais ce que je fais quand je dessine, Les petits classique du grand pirate, 1990.
Comme en disant c’est rien, c’est rien, Tarabuste, 1991.
On regarde un âne, Tarabuste, 1992.
Écritures courtes, Le dé bleu, 1992.
Des animaux plus ou moins familiers, André Dimanche,1993.
Le renard est un mot qui ruse, Tarabuste.
Ma guenille, Obsidiane, Sens, 1995.
Viens, dit quelqu’un, André Dimanche, 1996.
Essais de courts poèmes, Cahiers de l’Atelier.
La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
La peinture du poème s’en va, Tarabuste, 1998.
Anacoluptères, Tarabuste, 1998.
Relation, essai de deuxième ancrit (1962-63 ; 1996), Océanes, Saint-Denis d’Oléron, 1999.
Labrego coma (cinco veces), Noitarenga, Saint-Jacques de Compostelle, 1999.
Si peu de terre, tout, Le dé bleu, 2000.
L’Amérique un peu, Trait-d’union, Montréal, 2000.
Écrire à côté, Tarabuste, 2000.
Une petite fille silencieuse, André Dimanche, 2001.
Monsieur l’évêque avec ou sans mitre, Le dé bleu, 2002.
Mouvementé de mots et de couleurs, Le temps qu’il fait, 2003.
Les mots longtemps, qu’est-ce que le poème attend ?, Tarabuste, 2004.
Sans doute qu’un titre est dans le poème, Wigwam, 2004.
Trois anciens poèmes mis ensemble pour lui redire je t’aime, Cadex, 2006.
Broussaille de prose et de vers (où se trouve pris le mot paysage), Obsidiane, 2006.
Le poème n’y a vu que des mots, éditions Le dé bleu, coll. L’idée bleue, Centre Poétique de Rochefort-sur-Loire, 2007.
Un paradis de poussière, André Dimanche, 2007.




Cahiers du Refuge :
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interventions au cipM :

L'Autre nom du réel (Manifestations)