Pleurez pour les blessures, présentes ou passées dont le mal
s’est alimenté.
Pleurez pour l’absence, dont le vide nous a affamés.
Pleurez pour le temps perdu qui ne reviendra jamais.
Pleurez pour les regrets, violents parfois qu’on aimerait oublier.
Pleurez, pleurez, et puis zut ! moi je préfère « riez ».
Marine