Je suis air. Je vis dans l’air –mon élément.
Je suis la tornade qui à jamais se propage.
C’est de ma tristesse, puis de ma haine que surgit mon vrai visage.
Restant marqué dans ma mémoire par ces vulgaires personnages.
Je ravage tout sur mon passage.
Au commencement était le cri
Résonnant dans ma tête
Tel un éternel écho
Imperceptible à l’oreille d’autrui
Le silence extérieur contre
Le bruit assourdissant intérieur
Celui que l’on décide d’ignorer
Deux facette différentes
Pourtant ne font qu’un.
Il y a des mots qui font peur.
Et ce sont des mots forts.
Le mot trahison, le mot oubli, indifférence, injustice, solitude.
Le mot blessure et le mot peine.
Alizée