Toi

Toi, toi qui enflamme mon cœur, tu me manques.

Toi, qui en souriant créé des avalanches d’amour dans ma tête.

Toi, qui en m’offrant ce collier a incendié mon sourire.

Toi, qui en m’offrant ton cœur a déclenché la tempête de mes émotions.

Toi, qui par ta gentillesse a tsunamisé mon amour pour toi

En bref, tu as allumé la flamme de mon cœur

Je t’aime.

 

 

Victoria

 

Ce n’est pas une mutation

Je suis la terre

bercée par l’air

je suis l’air

au centre de la terre

je suis l’eau

qui donne vie

je suis le feu

qui créé les incendies.

 

Je suis le feu qui fume

et qui nourrit

le feu qui recommence

le feu qui remplit la panse

je pense que je compense

ce monde

je monte très vite en rébellion

Faites attention, ce n’est pas une mutation.

 

Taslin

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Poèmes

Il y a des mots qui font mal

Et se sont de grands mots

Le mot froid, le mot égoïste,

Lâcheté, méchant, violent

Le mot absent et le mot injuste

Et certains noms de torture et certains noms.

 

 

 

Je suis l’air qui berce la mer

Je suis la terre frappée par l’éclair

Le suis le feu qui allume les forêts

Je suis l’eau qui éteint les brasiers.

 

Erwan

 

 

 

Les éléments déchaînés

Je suis le feu, celui qui ravage les forêts et les transforme en brasier,

celui qui déclenche les volcans et ensevelit des versants.

Je suis l’eau, celle qui recouvre pendant quelques instants une ville d’habitants,

celle qui est gelée dans les glaciers.

Je suis la terre, celle qui fait trembler et disparaître une cité,

celle qui de ses éboulements détruit les bâtiments.

Je suis l’air, qui de ses bourrasques arrache les plumes d’un paon, qui d’un cyclone fait s’envoler les rescapés.

Je suis les éléments déchaînés.

 

Madeleine

Les éléments dechaînés

Je suis le feu, celui qui ravage les forêts et les transforme en brasier,

celui qui déclenche les volcans et ensevelit des versants.

Je suis l’eau, celle qui recouvre pendant quelques instants une ville d’habitants,

celle qui est gelée dans les glaciers.

Je suis la terre, celle qui fait trembler et disparaître une cité,

celle qui de ses éboulements détruit les bâtiments.

Je suis l’air, qui de ses bourrasques arrache les plumes d’un paon, qui d’un cyclone fait s’envoler les rescapés.

Je suis les éléments déchaînés.

 

Noe

Pleurez

Pleurez pour les blessures, présentes ou passées dont le mal

s’est alimenté.

 

Pleurez pour l’absence, dont le vide nous a affamés.

 

Pleurez pour le temps perdu qui ne reviendra jamais.

 

Pleurez pour les regrets, violents parfois qu’on aimerait oublier.

 

Pleurez, pleurez, et puis zut ! moi je préfère « riez ».

 

Marine